
C'est la guerre. La déchéance humaine –si l'on put dire- on s'affronte, se tue, s'injure, se détruit . . Tel était le quotidien des camps opposés. L'un, les espadas, élite des élites parmi leur monde et de l'autre, les capitaines shinigamis, également élite. Dans un monde de guerre et de violence, la joie, le bonheur, les bons jours n'ont pas leur place. Tout n'est que mensonge, espionnage, traîtrise . . et, c'est dans quoi deux jeunes soldats font tombés. La confiance, ca se gagne et surtout, ca se garde mais, peut on la donner a quiconque ?
C'est durant un soir doux et léger que l' espada numéro deux de son escouade partie pour la Soul Society pour une mission des plus cruciale. Ce fut à elle d'y aller car elle était à mène de finir cette mission. Ainsi, c'est en arrivant au QG des capitaines qu'elle se présenta comme étant une jeune shinigami venue d'un ville différente pour venir en aide aux capitaines. Le capitaine des capitaines accueillit cette fille comme étant un espoir, une finalité prochaine et c'est ainsi qu'elle se retrouva dans la division quatre. C'est dès lors que l'histoire commence et que le destin de deux personnes va être confronté.
Dans la salle principale du QG de la division quatre :
. . : Nous partons dans la soirée pour une mission ordonnée par notre 1 capitaine.
. . : Oui capitaine Kuchiki
Kuchiki : Maria, ne t'encombra pas outre mesure
Maria : Bien !
Sur ce, elle partie préparer ces affaires. Une mission seule avec Byakuya . . seule avec son capitaine, seuls contre tous, contre tous ces hollows et peu être, contre un espada. S'en y penser d'avantage, elle s'affaira jusqu'à la tombée de nuit où Kuchiki l'attendait sur le seuil du QG, véritablement impatient. Elle arriva, fit mine d'être confuse et dans un silence trouble, partirent en quête. Comme elle s'y attendait, des hollows étaient présents au lieu indiquer mais également l'espada numéro 5 Pablo De la Puerta Verde (Oo plus bizarre j'ai pas trouvé =='). Byakuya chuchota à l'intention de la jeune fille de rester sur ces gardes. Tandis qu'un hollow fondait sur notre jeune capitaine terriblement beau (*Q*), Maria s'occupa de Pablo. L'espada était de taille moyenne, brun avec une fine moustache à l'italienne (d'où le fait qu'il va mourir . . )
Pablo : Bonita, que tal ? Despuès el tiempo . .
Maria : Arrête ton cinema espada, je suis venue ici dans le seul but d t'éliminer
Pablo : Moi, me tuer ? L'espada numéro 5, le plus aimer ? Bonita, je suis Le gentlemen impossible à y résister . . (sourire tout blanc)
Maria : (ennuyer) Combattons !
Sans crier garde, Pablo invoqua son zanpacuto : Baile caliente sombre. Une flamme noire, chaude comme la braise plongea vers Maria qui contra avec ca seule lame. Entre les deux combattants, les armes s'entrechoquaient, couinaient, se mordaient . . Le combat dura et c'est uniquement quand Maria invoqua el lobo de la luna que le combat s'acheva. Et, c'est au même instant que Kuchiki arriva vers elle, ayant éliminé tous opposants. Encore une fois, sans un mot ils rentrèrent. Sans un regard, Byakuya rentra dans ca demeure alors que Maria partie traînée avec les autres filles engagées dans le combat.
Furtivement une ombre s'approche. Le clair de lune illumine la pièce où, allongé les yeux clos dort cet apollon brun. Douce et silencieux comme une féline, l'ombre se profile dans l'entrebâillement de la porte. Souple et gracieuse, elle se retrouve au côté de celui qui dort. L'ombre s'empare de l'illumination, il ouvre les yeux, prends un poignard et le plaque sous la gorge de la mystérieuse ombre. Toujours sans visage, il attrape cette ombre, la met au sol, se jette sur elle. Ils s'étendent . . Et le souffle court, le c½ur martelant dans la poitrine Byakuya s'éveilla. Lorsque le matin pointa avec l'aurore au doigt rose, Byakuya était déjà paré, assis devant le ruisseau attendant sa subordonné.
Kuchiki : (lorsqu'elle arriva) Je veux que tu enquête sur une personne qui chercherai à faire du mal aux capitaines
Maria : Je chercherai capitaine. Vous avez l'air fatigué
Kuchiki : J'ai été visité cette nuit . . (la regarde) Cherche.
Maria : (acquiesce) Bien
Et durant les mois qui suivirent, Maria s'occupa à chercher qui voudrai du mal aux capitaines, et Byakuya à surveiller les allers et venues . .
Et durant les mois qui suivirent, Maria s'occupa à chercher qui voudrai du mal aux capitaines, et Byakuya à surveiller les allers et venues . . L'inquiétude enivre t'elle les sens ? Le désespoir d'un guerre s'en fin n'ensevelirai t'elle pas les sentiments que l'on croit vrai et pourtant qu'on laisse au fond ?
Un jour, Maria était dans le jardin des Kuchiki à rester immobile face au héron et à ca patience. Derrière, Byakuya la regardait. Elle en qui il avait confiance, sa subordonné sur qui il comptait. Evidement, c'est sans regret que le capitaine se débarrasse des opposants, des gênes mais, si un jour cela devrait se produire avec elle, se débarrassera t il d'elle ?
Un an passa. Les combats continuaient, les âmes tombaient, les morts s'empilaient, le sentiment de perdre tout s'installait, la défiance faisait rage. Tous, oui tous se regardaient avec du dédain, avec une hauteur où l'on juge une personne pour ces actions, bien ou mauvaise, utile ou non . .
C'est quand la lune de cette journée se leva, que l'ombre revint. Dans le bureau de Kuchiki, Maria lui indiquait quelle personne pourrait en avoir après les capitaines. Il l'a juchait du regard, soutenait ces paroles. Après un certain instant
Byakuya : Crois tu, que je suis assez abruti pour me rendre compte de rien ?
Maria : Je vous demande pardon ? (se place légèrement sur ces gardes)
Byakuya : (se lève doucement) Je suis Byakuya Kuchiki, fils de la grande lignée des Kuchiki, capitaine de la quatrième division et non pas moindre des 13 capitaines alors, crois tu réellement que je suis aveugle envers ce qui se passe ici ?
Maria : Capitaine . .
Au moment où elle allait retirer son sabre du fourreau, Byakuya avança et l'envoya contre le mur où sa main appuyait contre ca gorge, à écraser la trachée. Ils se regardèrent. Longtemps. Il s'en trouva troublé. Perdu. Epouvanté par ce qu'il savait mais qu'il n'osait dire . . Elle, elle soutenait son regard, confiante, son ciller. Et pourtant. Tout bascule, tout à raison de ces deux êtres faibles face aux forces transcendantales à eux.
Inspiré par un instinct qu'il n'aurait alors jamais soupçonné, Byakua attrapa Maria par la nuque et avec fureur écrasa ces lèvres sur les siennes, coupant le souffle de la jeune fille. Comme si elle s'y attendait. Il se décala d'un pas d'elle, attrapa ces hanches, la souleva pour la calée sur sa taille et la re-plaqua avec force sur le mur. Le dépassant d'un pouce, Byakuya devait lever la tête pour se ré-emparer de ces lèvres, qui avaient le goût du miel. Un soupir de fureur s'entendit dans la nuit, seule où la lune était maîtresse de cette scène. Sans comprendre ni pourquoi ni comment, ni d'où venait ces élans, les baisers se firent ardents, les caresses fiévreuses et les soupirs, les gémissements plaintifs d'attendre l'heure où ils pourraient se libérer, laisser libre cours à leurs expressions. Il l'a reposa au sol dans ménagement, déchira le haut de ca tunique et embrasse la peau dénudée. Maria glissa ces doigts dans les cheveux soyeux de son capitaine, envoyant valser ces ornements crâniens (que c'est moche !!). Toujours Byakuya descendait. Il était désormais accroupi devant elle, lacérant le reste du vêtement. Alors complètement dénudée, Maria avait le teins légèrement rose, et sous l'effet de la braise dans son corps et, de celui d'être nue devant un homme. Une légère fraîcheur fit frissonnée la jeune fille. Elle sourit timidement en comprenant que cette fraîcheur n'était autre que les doigts de Byakuya sa dirigeant vers la chaleur la plus intense de son corps. En même temps qu'il se relava, ces doigts entrèrent dans l'incandescence ardente de la jeune fille. La lune illuminait donc cette scène. Le clair obscure qu'elle produisait enivrait d'avantages les sens des jeunes gens. Poussant plus loin, Byakuya accentua la respiration de Maria et son envie de plus en plus visible. A son tour, ces mains ce baladèrent sous les apparats du jeune noble, qui également se trouva vitre nu. Ca main descendit le long de son torse pour rencontrer un sexe dur et attentif. Mutuellement, ils se procurèrent du plaisir. Le capitaine donna le ton quand, dans un mouvement rapide allongea la jeune fille et se mit sur elle. Il écarta ca cuisse avec un de ces genoux, et, doucement mais non sans passion pénétra l'intimité de la jeune femme allongée sous lui. Son va et vient fit gémir Maria qui laissa courir ces ongles sur le dos du capitaine. Leur ébat continua une partie de la nuit. A la fin de celui-ci, Byakuya s'allongea au près d'elle.
Maria : (dans un murmure, regardant le plafond) Je suis Maria, espada numéro deux venue dans le but de t'éliminer
Byakuya : (la regarde) Je sais. Et pourtant je ne pus m'empêcher d'être attirer vers toi comme le papillon vers la lumière.
Maria : (le regarde à son tour) Je devrais quand même te tuer.
Byakuya : Je sais. Après avoir goûté un temps soit peu au bonheur, je ne risque de rien regretter.
Maria : (sourie) Tu ne me facilite pas la tâche.
Byakuya : (avec une sourire mystérieux) Tant mieux.
Il ferma les yeux, elle en fit de même, ils s'endormirent l'un à côté de l'autre, comme des amants. Néanmoins, la réalité en temps de guerre revient toujours à la surface. Ce n'est pas une nuit magique qui efface l'effet durable d'une violence sans limite.

ichime20ever, Posté le vendredi 03 mai 2013 17:52
Hello hello ! Avant-dernier chapitre posté, bonne lecture. (ton fond est magnifique, vive Toshiroooo *o*)